C’est une utopie de vouloir évaluer le coût humain, financier et moral des bras valides perdus par l’AFRIQUE et les contrées ayant subi les affres de la TRAITRE NÉGRIÈRE pendant quatre siècles.
La meilleure RÉPARATION consisterait aujourd’hui au renforcement et à l’accroissement des actions de SOLIDARITÉ des ex-NÉGRIERS au profit des pays et les autres contrées que la traite négrière a incontestablement retardés sur la route du développement. Elle n’est pas la raison exclusive et suffisante que l’on trouve en interrogeant l’histoire constituée lors de la rencontre des négriers allochtones avec les NOIRS.
Pour ce qui concerne les pays d’Afrique, ce serait commettre une faute historique ou faire preuve d’une myopie intellectuelle si l’on passe intentionnellement sous silence l’autre saignée forcée en forces humaines hautement productives que fut la traite ARABO- MUSULMANE qui a duré dix siècles et dont personne ne parle. Elle a pourtant handicapé d »une manière ou d’une autre l’Afrique NOIRE dans la course mondiale impitoyable pour le DÉVELOPPEMENT (PIB).

M,K-LT@ 11-05-2015 | http://kmikaila.blogspot.fr/?view=mosaic | ‪#‎MKLTA‬