► ENCOURAGER LA REVOLUTION (INNOVATION ET USAGE ) DES TICS POUR LE BIEN-ETRE PARTAGÉ EN AFRIQUE..
 
La croissance des startups en Afrique est un effet de mode prometteur qui pourrait s’appuyer sur les potentiels et compétences endogènes localisés qui existent et qui peinent à s’imposer dans le domaine de l’AGRICULTURE, la SANTÉ et l’ÉDUCATION, et caetera.

Ces secteurs d’activités nécessaires pour les politiques publiques visant à offrir le bien être partagé à tous en vue de « ne laisser personne au bord de la route », peuvent bien capter avantageusement pour les économies africaines qui rasent encore les murs, la grande partie des jeunes digiborigènes.

En effet, tout en assouvissant leur passion de « geek », la jeunesse victime d’un chômage galopant pourrait s’auto-employer en exerçant professionnellement dans des secteurs d’avenir pour le continent africain où la pénétration et la démocratisation de l’usage des TICs sont fulgurantes.

Il ne reste qu’aux États du Continent de créer un environnement favorable pour que cette Afrique de la génération sachant utiliser professionnellement ou en dilettante les TICs pour le « développement », advienne afin de reféconder ce que cette Afrique-là sait faire déjà (innovation sociale incrémentale ) ; ou créer carrément grâce à ces nouveaux outils de communication et de travail collaboratif des nouveaux secteurs d’activités ou produits (Innovation technologique ou sociale disruptive).

Les initiatives étatiques d’accompagnement à la Révolution des TICS pour le Développement qui peuvent être prises, doivent, pour être efficaces, allier UN INVESTISSEMENT TECHNIQUE (Infrastructures TICS de qualité ; centres d’émulation des talents dans ce domaine (Incubateurs / « Pépinières » d’entreprises innovantes, etc.), qui accueillent et promeuvent les porteurs des initiatives TICS à fort potentiel de développement et de croissance (Startup) ;
et, UN INVESTISSEMENT HUMAIN, c’est à dire des compétences intellectuelles, des encadrants sachant susciter et accompagner des initiatives TICs Développement porteuses.

Les porteurs des Projets TICs et développement, ne sont pas à mon entendement, forcement des as dans le codage informatique, des génies dans le langage abscons des algorithmes écrits dans un langage « social magique » qui fait fonctionner des Applications informatiques. Le porteur de Projet TICs pour le Développement doit être considéré comme porteur d’Innovation technologique ou sociale utilisant les TICs comme son cœur, ou comme support de communication, simplement.

Les usages des TICs sont multiformes et nombreux. Le champ des possibles des innovations est tout autant vaste.

Pour l’Afrique, l’Internet, comme je le dis depuis des années, est une grosse chance. Elle doit continuer à la saisir au profit de son développement.

M,K.-LT@raignee 16-06-2017 | http://www.mikaila.info/blog ~ ‪#‎MKLTA‬ ARCHIVES.