Quand le communicant sérieux travaille à partir d’une information dont il n’a pas une totale maîtrise, il doit être humble dans le traitement/l’exploitation qu’il en fait. Il doit faire savoir très clairement les réserves qu’il émet sur la donnée informationnelle dont il n’a qu’une connaissance parcellaire, ou n’est pas carrément le producteur.
 
Cette précaution est d’autant nécessaire à l’ère des TICs où la plupart des médias, mêmes ceux généralement crédibles et bien informés, en raison de la course effrénée au scoop, de l’information croustillante devant faire la une, passer en prime time, afin de gonfler corollairement l’audimat, affoler le compteur des « like » / « j’aime » sur les RS, travaillent hâtivement à partir d’informations de seconde main glanées sur l’Internet infesté de fausses informations –  » Fake  » – , dont il n’est plus souvent possible, dans l’urgence, de vérifier la véracité ou l’authenticité, avant leur livraison au public.
 
M,K.-LT@raignée 27-07-2017 | http://www.mikaila.info/blog ~ #MKLTA