Avec l’exigence de polygamie par les femmes dans certains pays africains, la réalité de la MISE EN COUPLE SOUS SA FORME LÉGALISÉE et réglementée, le mariage, est renvoyée à sa pure VÉRITÉ : le fait qu’elle est d’abord simplement un FAIT CULTUREL contextualisé avant d’être un problème de DROIT.
Les plaidoyers récurrents des femmes pour la polygamie, réalisés dans certaines contrées dans l’espace public africain où le sens commun les considère de façon prépondérante et péremptoire, comme des femmes infériorisées ou « chosifiées » par la polygamie ; fait s’écrouler cette fausse REPRÉSENTATION.
On peut supposer alors qu’il y a une certaine VIOLENCE exercée par le droit (juridicisation de type occidental) sur cette institution (mariage).
Une telle situation exige du spécialiste des RAPPORTS SOCIAUX DE SEXE (Gender), de réinterroger finement les raisonnements vendus sous forme de kit immuable visant à soutenir que la polygamie engendre d’emblée des relations sociales de sexe (POUVOIR et AUTORITÉ) toujours en défaveur des femmes.

M,K.-LT@raignée 08-01-2016 | http://www.mikaila.info/blog ~ ‪#‎MKLTA‬