NON A LA POLITIQUE DU « ÔTE-TOI QUE JE M’Y METTE »

Par Mikaïla Kassoumou, 15 novembre 2012.

La vitesse à laquelle on fait les remaniements dans notre pays explique en partie le « mal développement » que nous dénonçons. Je ne suis pas pour la politique du « ôte-toi que je m’y mette ». Ce ne sont pas les hommes qu’il faut changer coûte que coûte. C’est des résultats que nous devons exiger à ceux qui sont en responsabilité et que nous payons pour ce service. Nous devons nous réveiller et réveiller également les organes et institutions de contre-pouvoir, ils ont trop dormi.