►#BÉNIN : DU JOURNALISME ALIMENTAIRE VULGAIRE ET CRASSEUX.|
Ce papier que vous voyez en image est un Chiffon. Ses auteurs ne font pas du Journalisme.
Des Journaux alimentaires à vomir de ce type, commencent à s’imposer comme un standard sous la houlette des politiciens de la mouvance et de l’opposition qui se parlent à travers ces « caniveaux informationnels ».
Des journaux alimentaires interdits pour avoir débité des grossièretés, sont vite rétablis dans leur sale besogne par les nouveaux princes une fois qu’ils prennent le pouvoir. Allez y comprendre quelque chose !
Le métier de journaliste alimentaire est pratiqué de plus en plus par des personnes qui ne veulent plus choisir leur gagne-pain entre aller en brousse enseigner dans les écoles et collèges ou devenir animateur/facilitateur pour la mise en oeuvre des projets de développement à la base.
Si ce bras d’honneur que ces journalistes alimentaires font au noble métier qu’est le JOURNALISME devient de plus en plus criant, c’est bien parce que des politiciens ayant besoin de publicités pour flatter leur égo, transforment tout bonnement des cancres, ne s’étant jamais distingués par leur écriture, leur faconde, voire leur intérêt pour l' »histoire du temps présent » -l’actualité- , du temps de leurs études sûrement boiteuses, en journaleux « stars », dans notre pays.
« Stars » du journalisme alimentaire, qui ont fini logiquement par imposer les presses comme le lieu où on lit, écoute et voit le vulgaire, des insanités, des injures gratuites.
Ce travestissement du journalisme par les écrivaillons financés par les politiques pourrait nuire à terme à l’image de la presse de notre pays.
Il urge de toiletter ce milieu professionnel afin que nos nombreux journalistes qui sont au niveau de la concurrence internationale n’aient pas à voir s’écrouler la noblesse de leur métier.
M,K.-LT@raignée 11-10-2017 /02 | http://www.mikaila.info/blog ~ #MKLTA