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*Kérékou dans le starting-block de la sortie par la petite porte |

Mar02
by Mikaila KASSOUMOU on 2 mars 2013 at 0 h 06 min
Posted In: Non classé
(Cet article sorti de mon « frigo », a été publié pour la 1ere fois en 2006 sur La Toile d’@raignee – http://www.mikaila.fr)
Depuis le dimanche 5 mars 2006, Kérékou s’est placé dans le starting-block à partir duquel on s’élance pour sortir politiquement par la petite porte au Bénin. Je n’ai jamais souhaité cela pour lui.
(…) Kérékou n’a aucun dauphin préparé et ne roule pas pour Houngbédji comme une certaine opinion le véhicule. Quelqu’un qui a un Dauphin ne le cache pas, il le montre et le soutient publiquement. Le problème ne se pose pas me semble t-il en terme de Kérékou est contre Yayi Boni et travaille à susciter l’État d’urgence afin de remettre le pouvoir à Houngbédji (C’était l’opinion dominante hier sur le Net, juste après le limogeage de Fidèle Ayikoué, DG de L’ORTB et surtout après que des militaires ont interdit aux journalistes l’accès au domicile – Le Refuge du Pèlerin à Djrègbé –  du Professeur Albert Tévoédjré ). S’il roule réellement pour Houngbédji en adoptant les attitudes qui sont les siennes (Le jeu trouble de Kérékou), je trouve qu’il s’y prend très mal. Tous ceux qui connaissent Houngbédji savent très bien qu’il ne voudra jamais hériter le pouvoir de cette façon. Kérékou n’est pas prêt pour remettre pacifiquement le pouvoir à un Président choisi librement par les béninois. Sa conduite m’amène à affirmer qu’il souhaite le chaos pour le Bénin (la violence gratuite). Il importe aujourd’hui que tous les bons démocrates béninois aient la tête froide pour ne pas entrer dans le jeu du système Kérékou. Pour cela crions tous fort le slogan: » La violence ne passera pas par moi« . 

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*TRAFIC ET EXPLOITATION DES ENFANTS AU BÉNIN : DE LA SOLIDARITÉ FAMILIALE A LA VIOLATION DES DROITS DES ENFANTS |

Mar01
by Mikaila KASSOUMOU on 1 mars 2013 at 23 h 48 min
Posted In: benin, droits, enfant, enfants, explotation, kassoumou, mikaila, trafic, travail, vidomingon
TRAFIC ET EXPLOITATION DES ENFANTS AU BÉNIN : DE LA SOLIDARITÉ FAMILIALE A LA VIOLATION DES  DROITS DES ENFANTS
Le trafic et l’exploitation des enfants ont toujours cours au Bénin parce qu’ils y ont trouvé un terreau favorable. Aussi évoluent-ils en proportion inverse des efforts louables que déploient les autorités béninoises pour les éradiquer. Mais des chances d’une éradication totale de ces actes qui portent gravement atteinte aux droits  des enfants existent.

Par Mikaïla Kassoumou

(Cet article sorti de mon « frigo », a été publié pour la 1ere fois en 2004 dans « La revue des Droits de l’Homme » des Étudiants de l’Université Catholique de Lyon).

 « l’Etinéro », un navire battant pavillon nigérian affrété par une compagnie béninoise transportant officiellement 139 personnes à son départ de Cotonou est soupçonné de transporter des enfants esclaves en direction du Gabon. Ce navire a été successivement refoulé des ports du Gabon et du Cameroun. Après avoir fait près de deux semaines en mer, le navire est revenu à Cotonou avec 43 mineurs de diverses nationalités de l’Afrique de l’Ouest à bord. Cette affaire a mobilisé aussi bien les autorités béninoises que les organisations nationales et internationales travaillant pour la défense des droits de l’enfant.

Courant septembre 2003, 205 enfants âgés de 6 à 17 ans travaillant dans des carrières à Abeokuta dans l’Etat d’Ogun au Nigeria ont été découverts. Les parents des enfants exploités percevaient annuellement entre 70.000 et 80.000 F CFA (106,71 et 122 Euros).

L’Affaire Etinéro et récemment celle des enfants utilisés comme esclave à Abeokuta au Nigeria ont révélé au grand jour aussi bien sur le plan national qu’international le trafic ignominieux des enfants qui a cours au Bénin.

De quoi s’agit-il en fait ? L’ONU considère que  » le trafic comprend tous les actes impliqués dans le recrutement ou le transport de personnes à l’intérieur ou au travers de frontières, impliquant la tromperie, la coercition ou la force, l’asservissement à l’endettement ou la fraude, dans le but de placer ces personnes en situation d’abus ou d’exploitation, telles que la prostitution forcée, les pratiques apparentées à l’esclavage, la maltraitance ou l’extrême cruauté, le travail à rythme inhumain et les services domestiques abusifs. « .

Au Bénin les enfants victimes de trafic sont généralement utilisés comme une main d’œuvre bon marché aussi bien au Bénin que dans les pays de l’Afrique de l’Ouest tels que le Togo, le Nigeria, la Cote d’ivoire et de l’Afrique centrale comme le Gabon. Le trafic des enfants affecte aujourd’hui tous les continents à des degrés divers. Il est la troisième activité lucrative du crime organisé dans le monde après le trafic des stupéfiants et d’armes légères. Il représente une industrie de 3 milliards de dollars par an. Sur le plan mondial le nombre des enfants victimes de trafics divers serait dix fois supérieur à celui de la traite négrière. Aussi appelle t-on de plus en plus ce phénomène l’esclavage des temps modernes.

l’Agence de presse SYFIA- Bénin sur la foi des informations recueillies auprès de la Brigade pour la protection des mineurs signale que de 1998 à 2001, 2053 mineurs ont été interceptés aux frontières du Bénin. Des statistiques récentes données par Angola Presse dans son édition électronique indiquent que 600.000 enfants béninois de moins de 14 ans travaillent, dont 49.000 hors du pays. On peut se permettre de douter de ces chiffres qui pourraient être plus élevés à cause tout au moins de la porosité des frontières béninoises et de la corruption d’une grande partie des agents des forces de l’ordre qui sont censés mettre en œuvres les mesures prises par le gouvernement béninois pour lutter contre le phénomène aussi bien à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur.

Du galvaudage d’une ancienne forme de solidarité envers les enfants pauvres

Enlever l’enfant de sa cellule familiale et le placer ailleurs a été une forme ancienne de solidarité qui constitue aujourd’hui pour l’hydre du trafic de l’enfant un terreau bien riche. Jadis, les enfants appartenant aux familles pauvres sont envoyés chez des proches qui sont plus favorisés pour y être éduqués. Ce phénomène a toujours cours dans une moindre mesure dans certaines régions du Bénin. La plupart des premiers intellectuels du Bénin sont les purs produits de cette école de la vie où la solidarité et l’obligation qu’a le riche de partager sa richesse avec le pauvre étaient des valeurs cardinales. Les enfants étaient placés dans des familles qui ont ou non un lien direct avec les leurs. « Généralement les enfants qui ont été élevés dans d’autres familles que les leurs ont une éducation exemplaire », fait remarquer Isabelle, une Couturière qui a été élevée pendant dix ans dans une autre famille. « Je ne serai jamais devenu ce que je suis maintenant si j’étais élevé dans ma famille nucléaire », raconte Marc un Docteur en Médecine. « Dans ma famille adoptive la vie n’a pas été du tout facile pour moi, mais aujourd’hui je suis très content de l’éducation très solide qui m’a été donnée aussi bien par ma famille d’accueil et l’ensemble de la communauté villageoise qui pouvait m’infliger des punitions et me confier des travaux à faire parce que je lui appartiens en premier. Aujourd’hui tout cela a disparu, chaque famille s’est repliée sur elle-même et se défend contre la misère comme elle peut. Ce n’est pas du tout étonnant que nous assistions au trafic et à l’exploitation des enfants « , poursuit-il avec émotion. En ce qui concerne l’individualisme très poussé auquel Marc fait allusion, Mathieu, un enseignant de Porto-Novo déclare : « La vie devient de plus en plus chère et il est très difficile maintenant de garder les enfants de ses frères et de ses sœurs qui n’ont pas les moyens de les élever pourtant ils continuent d’en faire beaucoup ». Dans certaines localités rurales du Bénin où l’agriculture se pratique encore avec des moyens très rudimentaires, avoir plusieurs enfants permet de disposer d’une main d’œuvre importante. Cette stratégie selon Paulin, père de 23 enfants est « un piège qui accroît généralement la pauvreté des familles nombreuses au lieu de l’éloigner ».

Le trafic et l’exploitation des enfants sont des phénomènes qui d’une part ont des racines lointaines et d’autre part ont pour cause la pauvreté des familles dont les enfants victimes de trafic sont issus. Cette seconde raison est d’autant vraie que les régions pourvoyeuses des enfants sont des zones où les populations vivent dans la boue de l’indigence ou tout simplement dans la misère. Etant dans cette situation ces familles sont animées du souci d’améliorer leurs conditions de vie en faisant travailler leurs enfants à un âge précoce afin que ces enfants puissent avoir des chances de survivre et si possible les aider en retour. Pour Jeanne une commerçante du marché Dantokpa à Cotonou, « le trafic et l’exploitation des enfants sont dus à une adaptation malheureuse de la solidarité familiale qui avait existé à l’endroit des pauvres, des moins favorisés de la vie aux conditions actuelles de la vie ».

De la nécessité d’arrêter le trafic et l’exploitation des enfants

Le trafic et l’exploitation des enfants créent de graves préjudices à ces derniers. Les enfants victimes de ces phénomènes sont privés du droit à la famille, à une éducation normale, à la protection contre l’exploitation et les abus. Etant donné que ce trafic viole gravement les droits des enfants qui sont l’avenir de demain, il urge que le gouvernement béninois s’attelle à éradiquer ce phénomène qui risque de vider peu à peu le pays de ses futures forces productives. C’est vrai que d’énormes efforts ont été réalisés par le bénin, mais il convient tout de même de signaler que des progrès restent à faire. La ratification par le gouvernement béninois des divers instruments internationaux visant la protection des droits des enfants est très louable. Il faut aussi reconnaître que le Ministère de la Protection Sociale et de la Famille depuis la survenance de l’Affaire Etinéro prend très au sérieux les questions relatives à la violation des droits des enfants. La volonté du gouvernement béninois de lutter effectivement contre le trafic et l’exploitation des enfants a été encore réaffirmée en mars 2004 à travers la création d’un Observatoire National de lutte contre l’exploitation et le trafic des enfants. S’il est vrai que la volonté politique affichée par le Bénin à lutter contre ces phénomènes est sans ambiguïté, on constate sur le terrain : le manque de moyens pour contrôler les frontières et la corruption des agents chargés de contrôler l’entrée et la sortie des mineurs du territoire. Ces paramètres qui constituent de grands handicaps sont à prendre en compte si l’on veut réellement stopper ces phénomènes.

Une lutte efficace contre le trafic et l’exploitation des enfants au Bénin passe par plusieurs actions qui doivent être menées concomitamment. La lutte contre la pauvreté doit être la première bataille à mener. Souvent les actions menées aussi bien par le gouvernement que par les ONG ne mettent pas suffisamment l’accent sur la pauvreté des populations rurales, pauvreté qui les oblige à confier leurs enfants à des trafiquants. Il revient à l’Etat de créer des conditions favorables à la vie dans les zones pourvoyeuses d’enfants au trafic.  » Si l’Etat met à notre disposition le minimum qu’il nous faut pour vivre nous ne serons pas tentés d’envoyer nos enfants travailler au Nigeria » déclare Mohamed, un cultivateur vivant dans un village frontalier du Bénin.  » L’année passée mon revenu annuel issu de la vente de coton était de 61.500 F CFA (93,75 Euros), comment voulez-vous que je subvienne seul aux besoins de mes trois femmes et de mes 17 enfants. Les sensibilisations que les ONG viennent faire pour nous demander de ne pas envoyer nos enfants au Nigeria ne suffisent pas », poursuit-il. Ensuite il faudrait continuer à sensibiliser les populations sur la dangerosité du phénomène et la sévérité de ses conséquences.

Il faudrait également que l’Etat béninois mette tout en œuvre pour contrôler entièrement et correctement ses frontières. Quant à la corruption elle doit être combattue surtout aux frontières, lieux par lesquels les mineurs sont acheminés. Certains agents chargés de contrôler les déplacements au niveau des frontières perçoivent de l’argent chez les trafiquants afin de les laisser passer avec leurs butins. La lutte contre la corruption des agents devant mettre en œuvre les décisions gouvernementales et les instruments internationaux de lutte contre l’exploitation et le trafic des enfants auxquels le Bénin a souscrit aura l’avantage de diminuer considérablement le trafic et l’exploitation des enfants.

M.K


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*Empoisonnement supposé du Pdt Yayi : Des raisons d’arrêter les polémiques…|

Mar01
by Mikaila KASSOUMOU on 1 mars 2013 at 22 h 52 min
Posted In: benin, kassoumou, mikaila, yayi
Dimanche 18 novembre 2012, 23:41.

Est- ce qu’ il n y a pas mieux que de parler tout le temps des « riches politiciens » alors que des gens continuent de mourir du neuro paludisme dans le Benin dit profond et que les pauvres producteurs de coton qui reçoivent des « miettes »… à Fombawi , à Ouinin, et à Wari-Maro continuent de vivre dans la boue de l’indigence. Dans un pays sérieux et normal quand une affaire est confiée à la justice en qui on devrait avoir confiance, on attend les conclusions des investigations…C’est curieux de constater que la presse se laisse distraire aussi. De toute façon on ne peut pas empêcher dans le cas d’espèce le gouvernement de « mettre son pouvoir en scène « . C’est aussi l’occasion pour les spécialistes en communication qui s’essayent au « storytelling », de passer à l’action. On constate bien cela dans les deux camps (Talon versus Pdt Yayi). Une presse responsable dans ce cas précis devrait investiguer et non en rajouter à la polémique. La démocratisation du Web 2.0 qui fait que chacun est devenu « son propre journaliste », s’il permet l’instantanéité et la diversification des sources d’information, en a ajouté à la confusion… Toujours est-il qu’un journaliste professionnel sérieux, n’est pas un journaliste à scandale, tout comme n’importe quel cartésien d’ailleurs. La meilleure manière d’être utile aux populations vivant dans la misère, majoritairement dans les villages, c’est de relayer leur colère, faire savoir leur souffrance, susciter des réflexions pour s’en sortir, proposer et faire des actions conséquentes permettant enfin un développement largement et équitablement partagé. Pour l’instant, c’est nous qui avons été à l’école qui sommes responsables des maux de développement dont nous semblons nous accommoder.

Dans une réflexion de très bonne qualité parue dans les canards et que j’ai pu lire sur le Net il y a quelques jours un « universitaire-Acteur » béninois, a eu le mérite de « hausser le ton » en attirant notre attention sur les syndromes et symptômes d’un Etat malade. Il a très bien expliqué, décrit, comme on le ferait en ethnographie, avec des exemples fins ce phénomène « d’accommodation au mauvais développement ». Il a en effet sillonné les rues de Cotonou avec un regard distancié mais critique, informé de ce que c’est que le « bon développement ». Il nous ramène des fragments de discours des sportifs qui ne faisaient pas des éloges a notre aéroport, il a constaté des cimetières de voitures, la vente de l’essence Kpayo par une femme enceinte, des camions sans freins,…, même les lampadaires qui n’avaient pas d’ampoules…Des trucs, faits en apparence simples, au départ anormaux que nous avons fini par « normaliser » du fait de leur permanence ou « survivance ».

S’accommoder de la misère et de la corruption, toutes deux anomiques, est-il le syndrome d’un « Etat malade  » ? Puis je me demander à la suite de l’Universitaire.
[S’indigner de la misère ordinaire, « des politiciens-Affairistes » qui ont le Maximum Social Particulier (MSP)  n’est pas anti-démocratique, c’est une action de bon démocrate]. Il faut bien entendu gérer l’urgence qu’ est cette affaire d’empoisonnement  (Le factuel comme on le dit dans le jargon journalistique), mais le Bénin parviendra à donner à chacun de nous le Minimum Social Commun (MSC) que part la gestion efficiente et responsable du quotidien, de notre quotidienneté : Empêcher les morts et accidents causés par  les camions sans freins, l’essence Kpayo,…. ; lutter contre la corruption, mieux payer les paysans qui cultivent le coton…, rendre opérationnels les lampadaires en remplaçant les ampoules défectueuses,…etc.
Il y a mieux à faire, concentrons-nous sur l’essentiel : « Le bon développement ».
Par Mikaïla KASSOUMOU (http://www.mikaila.fr) | #MKLA

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